vendredi 17 juin 2011

UNE PETITE PAUSE


Pour des raisons techniques, je dois observer une petite pause dans la publication de mes messages. Je m'en excuse vivement auprès des ami(e)s lecteurs et lectrices.

Je vous donne rendez-vous en juillet 2011 pour la reprise de l'activité de ce blog.

A bientôt incha Allah,

kormarie

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For technical reasons, I have to observe a break in the publication of my messages. I apologize with friend (s) readers.
I look forward to seeing you in July 2011 for the resumption of the activity of this blog.
See you soon insha'Allah,

kormarie





jeudi 16 juin 2011

Pour ceux qui se demandent encore "Pourquoi américains et européens sont si discrets à propos de la SYRIE ?"

LU POUR VOUS...

<<Menacé par Damas, l'ex-premier ministre libanais Saad Hariri serait réfugié à Paris

LEMONDE.FR avec AFP | 16.06.11
L'ancien premier ministre libanais Saad Hariri serait réfugié depuis une semaine à Paris, selon des informations publiées par Libération.fr. "Raison de cette consigne : les services secrets américains et saoudiens craignent que sa vie soit menacée", peut-on lire sur le site du quotidien.
Le fils de l'ancien premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005 dans un attentat généralement imputé au Hezbollah et aux services syriens, devrait faire la navette entre Riyad, en Arabie saoudite, et la capitale française.
D'après Libération, les renseignements américains et saoudiens "estiment que le régime syrien pourrait organiser son assassinat dans le but de créer un conflit interconfessionnel (chiite-sunnite) au Liban". "L'attention de la communauté internationale serait alors détournée et Bachar Al-Assad pourrait mater comme il l'entend la révolte dans son propre pays au prétexte qu'il s'agirait là aussi d'une guerre civile", poursuit le quotidien.
Au terme de cinq mois de négociations, le nouveau premier ministre libanais Najib Mikati avait annoncé en début de semaine la composition de son gouvernement, dominé par le Hezbollah et les alliés du puissant parti chiite. Une décision vertement critiquée par l'opposition, qui a estimé que le pays devenait l'"otage" de son voisin syrien.
L'opposition, menée par Saad Hariri, craint qu'avec un gouvernement dominé par le camp du Hezbollah, Beyrouth ne cesse toute coopération avec le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), en charge de l'enquête sur l'assassinat de l'ex-premier ministre libanais Rafic Hariri, que le parti chiite accuse d'être "à la solde des Etats-Unis et d'Israël">>.

jeudi 9 juin 2011

TOURISME SEXUEL... LU SUR oumma.com

Tourisme sexuel : quand Frédéric Mitterrand évoquait la « solution Maghreb »


LU SUR  OUMMA.COM
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Tourisme sexuel : quand Frédéric Mitterrand évoquait la « solution Maghreb » 

Mauvaise passe pour le ministre de la Culture. L’affaire Strauss-Kahn braque le projecteur sur les mœurs des dirigeants et l’omerta qui recouvre leurs éventuels délits sexuels. Depuis six ans, une confession méconnue de Frédéric Mitterrand à propos de ses relations tarifées en Tunisie est passée sous silence. Flashback.
 « L’échange paraît facile… mais la transgression est absente. On sert de femme de remplacement et de livret de caisse d’épargne ; les beaux gosses arrivent comme au sport et pour financer l’électroménager de leur futur mariage avec la cousine choisie par leur mère… ce sont les familles qui mènent le jeu et gagnent à tous les coups… de vieilles folles compulsives y trouvent leur avantage… puis les garçons disparaissent d’un seul coup… la fatigue ne vous donne plus très envie de continuer »  : en ces termes, Frédéric Mitterrand dévoilait la face obscure de son amour pour la Tunisie. C’était en 2005, à l’occasion de la parution de son ouvrage intitulé « La mauvaise vie ». Ce récit crû et mélancolique relatait alors les expériences transgressives et autres égarements d’un esthète voyageur en mal de sensations fortes. Ainsi, à défaut de pouvoir s’aventurer dans les bordels d’Asie du Sud-Est, le narrateur admettait recourir à une alternative plus commode : la « solution Maghreb ». Fin 2009, lors de la révélation médiatisée de passages faisant état de relations avec des « garçons » en Thaïlande, le journaliste de L’Express Jérôme Dupuis s’était livré à une analyse détaillée du récit. A propos du passage concernant la Tunisie, son commentaire fut explicite : « Ce qu’il appelle crûment la “solution Maghreb” (comprendre le tourisme sexuel en Afrique du Nord) serait une impasse, car les compagnons d’une nuit ne souhaitent pas le suivre en France. “Le minet n’immigre pas”, conclut-il avec regret… ».
Plus loin, le critique littéraire renchérissait : « C’est pourtant un chapitre consacré à la Tunisie qui, peut-être, suscite chez le lecteur la plus grande gêne. Frédéric Mitterrand y raconte, en une scène déchirante, comment il emmène vivre avec lui à Paris un garçonnet tunisien, l’arrachant à une mère évidemment consentante mais éplorée. Pour l’éducation de ce “fils adoptif”, le ministre se démène sans compter et se prive de vie mondaine. L’enfant, turbulent, lui mène la vie dure, arrachant à Frédéric Mitterrand cette réflexion - où comme toujours la franchise ouvre directement sur l’inconscient : “Je me demandais parfois si je serais capable de me donner tant de mal pour une petite fille. Les garçons touchaient évidemment à quelque chose de plus intime et de plus ambigu - quoique…” ».
Lors d’une interview spéciale avec Laurence Ferrari en octobre 2009, Frédéric Mitterrand –alors critiqué pour son soutien à la libération de Roman Polanski- avait précisé qu’il ne se livrait nullement, dans ce « récit pas totalement autobiographique », à « l’apologie du tourisme sexuel ». Une pratique qu’il « condamne » même s’il a reconnu avoir commis tout au plus « une faute contre l’idée de la dignité humaine » à propos de ses relations « tarifées ». Solennel, le ministre enfonçait le clou : « Il faut se refuser absolument à ce genre d’échange ».
La tempête est passée et Frédéric Mitterrand est resté à son poste. Curieuse faveur : alors que le secrétaire d’Etat Georges Tron, soupçonné d’agression sexuelle, a dû démissionner alors qu’il n’est pas encore mis en examen, le ministre de la Culture a continué d’exercer ses fonctions alors qu’il avait confessé, de manière à peine voilée, avoir commis des actes susceptibles d’être considérés comme délictueux au regard du droit international. A cette protection s’ajoute celle de l’ancien régime de Ben Ali : comme il l’a reconnu en février dernier, Frédéric Mitterrand dispose -grâce au despote déchu qui le lui a octroyé- de la nationalité tunisienne. Or, dans ce pays, la loi était particulièrement sévère à l’encontre du citoyen lambda ayant recours à la prostitution. Derrière la légende dorée d’une Tunisie progressiste et libérale sur les mœurs, une législation féroce, comme celle des autres pays arabes, était toujours en vigueur pour sanctionner les pratiques sexuelles hors-mariage ou l’affichage de l’homosexualité. Frédéric Mitterrand a visiblement bénéficié d’une impunité extraordinaire lors de ses fréquents séjours en Tunisie en comparaison du citoyen de base. Rien de surprenant, dès lors, à l’entendre défendre tacitement Ben Ali quelques jours avant son départ–alors que le sang des manifestants avait pourtant déjà coulé.
Quant au chef de l’Etat, la protection qu’il assure au neveu de l’ancien Président n’a pas été entamée par la lecture de l’ouvrage controversé, bien au contraire- comme l’a expliqué son auteur au Nouvel Observateur : « J’ai parlé avec Nicolas Sarkozy à trois reprises de «
la Mauvaise Vie ». La première fois, c’était pendant la campagne présidentielle, lors d’une rencontre informelle, hors de tout enjeu politique direct. Nicolas Sarkozy venait de lire mon livre. Sans céder au narcissisme, je crois pouvoir dire qu’il l’avait beaucoup aimé. J’ai surtout eu le sentiment qu’il l’avait compris. Nous en sommes restés là ».
Gratitude en retour : lors du dernier festival de Cannes, le ministre a
affirmé qu’il ferait « ce qu’on lui demandera de faire » pour appuyer la candidature et la réélection de Nicolas Sarkozy. Six ans auparavant, Frédéric Mitterrand admettait pourtant n’avoir « aucune sympathie » pour celui qui était alors le dirigeant de l’UMP. La convoitise d’un maroquin rend probablement les êtres aimables.
 Les yeux fermés de Ben Ali
Depuis la parution de son ouvrage en 2005, et notamment depuis sa nomination à la Culture quatre ans plus tard, Frédéric Mitterrand n’a jamais eu à s’expliquer sur les passages consacrés à la Tunisie et sur ce qu’il nomme lui-même la « solution Maghreb », à savoir l’exploitation sexuelle de la misère locale. Alors qu’une nouvelle affaire de mœurs - à propos d’un ancien ministre s’adonnant à la pédophilie au Maroc- provoque actuellement un vif débat au sein de la classe politique, une autre révélation est passée totalement sous silence. C’était le 17 février sur l’antenne d’Europe 1 : interrogé sur les conséquences de la révolution tunisienne, l’ex-journaliste Jean-François Kahn a lâché brutalement un propos détonnant qui n’a pas été relevé par la presse écrite et audiovisuelle : « Il y a encore six jours, monsieur Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture -la Culture !- disait « Ce n’est pas une dictature » ! Et quand on sait quelles sont les activités auxquelles se livrait monsieur Mitterrand en Tunisie, il aurait dû se taire ! C’est ignoble, c’est une abjection, l’attitude de monsieur Mitterrand ».
Quelles sont précisément ces « activités » innommables auxquelles fait référence Jean-François Kahn ? Mystère. Dira-t-on par la suite, comme pour l’affaire Strauss-Kahn, que beaucoup, dans le microcosme parisien, ont « su » mais ont préféré se taire ? Probablement. Contrairement à la confidence déguisée de Luc Ferry au sujet d’une personnalité politique ayant commis des actes délictueux au Maroc, l’allusion quasi-diffamatoire d’un initié comme Jean-François Kahn n’a pas fait de bruit depuis trois mois. Une omerta tranquille, en quelque sorte.
Frédéric Mitterrand est décidément né sous une bonne étoile : couvert par Ben Ali, soutenu par Sarkozy et épargné par un microcosme médiatique qu’il finance en partie par les aides à la presse, cet homme de réseaux peut s’enorgueillir d’avoir réussi à conquérir la place d’un notable influent tout en ayant confessé la vie d’un crypto-touriste sexuel qui a fait fi des conventions. Dans n’importe quelle démocratie scandinave ou anglo-saxonne, un tel grand écart aurait été inimaginable. En France –nation qui se flatte d’avoir « aboli les privilèges » en 1789, ce traitement de faveur est possible. Cherchez l’erreur.
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Franchement...

CES GENS LA NE MERITENT AUCUN RESPECT DE NOTRE PART, ET NOUS NE DEVRIONS RIEN AVOIR A FAIRE AVEC EUX. 
kormarie

mercredi 8 juin 2011

BONNE GOUVERNANCE NE RIME PAS AVEC BOULIMIE

Enregistré dans : Non classé — kormarie @ 14:51 Modifier
Nous sommes en 1982. Ce sont les dures années de mise en œuvre des politiques néfastes dictées par la Banque Mondiale. Dans une interview au “Club de la presse du 1/3 monde”, Abdou DIOUF accuse : <<La Banque Mondiale nous demande de scier la branche sur laquelle nous sommes assis>>.

Nous nous trouvons du côté de MERINA DAKHAR, en plein pays cayorien, pour les besoins d'une campagne électorale. L'opportunité nous est offerte de rencontrer l'un des vieux sages du village. Après les salutations d'usage, nous déclinons l'objet de notre “tournée” et sollicitons les prières et conseils de l'Ancien. Alors, à notre grande surprise, il nous lance, sur un ton on-ne-peut plus inquiet :  <<Mes enfants, est-ce sûr ce que vous voulez faire ?>> et puis, constatant notre étonnement, il ajoute : <<Vous voulez enlever du pouvoir des gens qui sont déjà repus pour mettre à leur place d'autres qui ont très faim ; cela ne me rassure pas. Dites-vous bien que les nouveaux dirigeants que vous ferez élire commenceront avant tout par satisfaire leur grosse faim>>.

Naturellement il avait raison, mais notre générosité d'esprit (voire notre naïveté) nous aveuglait et nous empêchait de douter, un seul instant, du “patriotisme” et de “l'honnêteté” des femmes et des hommes avec qui nous menions cette lutte pour le changement.

Aujourd'hui, près de 30 ans après les sages paroles du Patriarche de Mérina Dakhar, la pertinence de sa mise en garde n'en finit pas de se vérifier sous nos. Des compatriotes qui, une semaine avant le 19 mars 2000, couraient derrière les “cars rapides” de Dakar ou se bousculaient dans les “Tangana”, étalent sans retenue ni décence leurs infinies richesses devant un peuple incrédule. Des immeubles imposants et des villas cossues sont érigés, y compris en bord de mer, par d'anciens mauvais payeurs de loyer. De mémoire de sénégalais, on n'avait jamais vu se révéler autant de “nouveaux riches” en si peu de temps. Une véritable génération spontanée !

Et les terres alors ? Des terres, beaucoup de terres, toujours des terres, encore des terres ! C'est une véritable boulimie pour la terre qui s'empare de ces super-citoyens qui se croient certainement immortels. Pour des raisons qui échappent à toute analyse rationnelle, on est prêt à tout pour toujours en posséder plus. Aussi, la dernière révélation venue de MBANE , où l'on apprend que 33400 ha de terres abusivement attribuées à plus de 50 personnalités politiques de très haut rang auraient été récupérées par le Conseil Rural, ne constitue-t-elle qu'un petit exemple parmi des centaines, voire des milliers de scandaleux cas d'abus.

Assurément, le sage avait raison ; il n'est point sûr de confier son “garde-manger” à quelqu'un qui a une fin de loup.

KorMarie

jeudi 2 juin 2011

Ben Laden et autres prétextes

Posté le 7 mai 2011 sur http://serignemalick.unblog.fr

 
Vivant, O. Ben Laden s'est révélé d'une grande utilité pour l'administration américaine et ses alliées du Nord. Il a servi de prétexte pour attaquer l'Irak, éliminer Saddam Hussein et se positionner en fournisseur de “reconstruction” et en client privilégié (cf. le pétrole irakien). C'est également pour traquer Ben Laden qu'à côté de leurs alliés, les américains se sont engagés en Agghanistan contre les talibans. Et ce n'est pas tout, mais ces deux fronts suffisent à l'illustration de mon propos.

Mort, Ben Laden rend également un énorme service à B. Obama qui connaît en ce moment un second état de grâce. Normal dans la mesure où <<Justice est faite>> semble-t-il. Et après ? Que va-t-il se passer désormais du côté de différentes mouvances de la nébuleuse Al Qaîda, car Ben Laden n'était malheureusement pas seul ? Comment tous ces pays qui ont solidairement traqué Ben Laden vont-ils parer aux représailles promises par l'organisation terroriste ? Quels prétextes désormais pour rester en Afghanistan ? Et puis que faire face à tous ces peuples qui bougent (Lybie, Yemen, Syrie, etc.) et dont où ne sait jamais qui ils vont porter au  pouvoir une fois la démocratie installée ?

Non hélas, le monde n'est pas plus sûr aujourd'hui qu'hier. Ni pour Obama ni pour les pauvres spectateurs que nous sommes ; car ceux qui décident, c'est bien le lobby miltaro-industriel et ses “va-t-en-guerre” de service, tous pays confondus. Ceux-là même qui, obstinément, parcourent le monde à la recherche de prétextes à des interventions armées. Sous ce rapport, les terroristes eux-mêmes, consciemment ou inconsciemment, sont tous manipulés….

serigne malick

mercredi 1 juin 2011

IL ETAIT UNE FOIS, UN FAUX PRINCE

Il était une fois, le dirigeant d'un petit pays sub-saharien qui se prenait pour un souverain éternel et infaillible. Ce faux "prince", à force de chercher à duper son peuple et d'organiser le pillage des rares ressources disponibles, devint tellement impopulaire qu'il eut peur d'envisager son départ, même normal, du palais "princier". L'opinion publique mondiale étant devenue si sensible et si déterminante et l'arsenal juridique international étant si défavorable aux dirigeants de son acabit, il entreprit de conduire un projet de succession dynastique jamais osé dans son pays.

En effet, pour assurer ses arrières et éviter l'inventaire de sa gouvernance désastreuse, il ne pouvait compter que sur le faux "P'tit Prince". Lui seul, il en était sûr, pouvait lui garantir de n'avoir pas à rendre compte de sa gestion scandaleuse. Il ordonna alors à son administration de faire preuve d'imagination afin de lui sortir les meilleures recettes possibles pour gagner toutes les futures élections, installer son dauphin et lui céder progressivement le fauteuil.

Et ce fut la foire aux "solutions" les plus bancales, les plus dangereuses et les plus impopulaires :

-         Redéployer l'administration territoriale en s'assurant de responsabiliser les administrateurs les plus "loyaux" ;
-         récupérer de force les communes et communautés rurales perdues aux dernières élections, afin de disposer partout d'un personnel dévoué à la cause du "P'tit Prince" ;
-         réprimer toutes les manifestations et, au besoin, intimider en ôtant la vie à quelques innocents ;
-         présenter et faire parrainer le "P'tit Prince" comme héritier par les "grands" de ce monde (Sarkozy, Obama, etc.) et les obscurs lobbies du Nord ;
-         retenir les documents (cartes d'identité et cartes d'électeurs) des électrices et électeurs hostiles au Prince et/ou à son projet ;
-         museler la presse dite libre ;
-         corrompre, beaucoup corrompre, toujours corrompre, encore corrompre ;
-         etc.

Bref, des dispositions dignes d'une bonne république bananière furent prises, au grand dam du peuple et d'une opposition qui ne savaient plus où donner de la tête face à tant d'audace dans la bêtise.

Et puis arriva le jour tant attendu des élections. Le bon petit peuple qui avait tant su renoncer et attendre, préférant la tranquille révolution des urnes à celle de la rue, infligea au Prince et à tous ses larbins une claque retentissante. Craignant la réaction de Mme "OPM" (Opinion Publique Mondiale), et instruit par l'expérience d'à côté, le Prince n'eût point d'autre choix que de s'incliner.

Toutes les trouvailles mises en œuvre, tous les montages réalisés, bien que plusieurs fois simulés, échouèrent lamentablement… et le peuple manifesta bruyamment sa joie d'avoir rétabli l'ordre démocratique normal. Amine.

serigne malick

* Voir aussi "Malgouvernance, quand tu nous tiens", posté http://serignemalick.unblog.fr le 12 avril 2011.